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Du 3 au 11 septembre 2021, se tenait le congrès de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), véritable baromètre de l’état de la situation de la biodiversité dans le monde.

Gouvernements, société civile, peuples autochtones, scientifiques et entreprises se sont donc réunis pour définir le cadre des prochaines années pour protéger la biodiversité et l’environnement. Avec plus de 37.000 espèces d’animaux et de plantes sauvages menacés, selon les chiffres de 2021, les projections alarmantes sur l’état des forêts, les défis sont en effet de taille. Surpêche, braconnage, déforestation, pollution de l’eau et des sols… L’activité humaine est en très grande partie responsable de l’érosion de la biodiversité. Dans des régions où les populations vivent essentiellement des ressources de la nature, difficile de ne pas les associer aux politiques de conservation au risque de les couper de leurs moyens de subsistance. Comment protéger l’environnement avec les populations locales ? Comment assurer le développement économique des communautés locales dans des aires protégées ?

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