Le Président des Jeunes Libéraux d’Abobo, Karim Fofana, a reçu sa feuille de route. C’était ce samedi 30 août 2025, au Musée Adama Toungara sis à Abobo, au cours d’une cérémonie d’investiture doublée de la rentrée solennelle de la section communale d’Abobo.
Face à la crispation de la scène politique ivoirienne et à ses mauvaises influences, cette journée était placée sous le signe de la paix, à travers une conférence sur le thème : «La responsabilité de la jeunesse libérale pour une élection apaisée en 2025». Karim Fofana et son équipe ont reçu les vives félicitations pour cette rentrée riche en émotions et en enseignements.
Le conférencier du jour, Idriss Ouattara, Président National de l’Organisation des Jeunes Libéraux de Côte d’Ivoire (OJLCI) et vice-président de ALYF- Africa Liberal Youth for Freedom chargé de l’Afrique de l’Ouest, a rappelé que la paix est essentielle à la liberté et au développement. Il a souligné que « céder à la violence nuit à l’individu et compromet la prospérité collective ». C’est pourquoi, il a invité les jeunes libéraux à promouvoir le dialogue, défendre les droits humains et les a encouragés à la participation citoyenne. En refusant la division et la violence, a-t-il souligné, la jeunesse libérale contribuera à bâtir des élections apaisées et une société véritablement libre et démocratique.
Au nom du maire de ladite commune, Hamed Koné, Président de l’UJ-RHDP Abobo, a salué l’initiative et encouragé les jeunes à s’inscrire dans une dynamique de responsabilité et de cohésion. Il a insisté sur le fait que la jeunesse doit être à l’avant-garde de la paix et du vivre-ensemble, en s’opposant fermement à toute forme de division et de manipulation politique. Sea Ludovic, ex-président de l’OJLCI, n’a pas voulu se faire conter cette activité.
Une motion de remerciements a été adressée à la Présidente du Sénat, Mme le Maire Kandia Camara, à Chérif Camara, parrain de l’activité, à la FENUJCI, le CNJCI-ABOBO, U-REPORT, la société civile, ainsi qu’à toutes les personnes qui ont effectué le déplacement.
Stéphane Badobré
