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C’est une rocambolesque affaire qui aura débuté par un communiqué de la partie la plus conséquente de la famille Thiam. Dans un communiqué signé par Augustin Thiam, ses frères et sœur, les enfants de Mariétou Sow et du ministre Amadou Thiam ont renié une de leurs demi-sœurs et traité sa mère Simone Carmen Petit de femme de seconde zone. Anna Rose Thiam n’est pas la bienvenue auprès du clan et ne doit aucunement troublée la tranquillité des crédibles détenteurs du patronyme Thiam version ivoirienne. Anna Rose Thiam qui selon nos investigations a traversé des moments assez difficiles dans son enfance a deux sœurs aînées qui ont aussi vécu l’enfer malgré le titre de ministre de leur défunt père Amadou Thiam. Aïssatou Sylvianne Thiam est la plus connue des filles de Simone Carmen Petit et d’Amadou Thiam. Actrice, écrivaine , c’est avec dignité mais des larmes aux yeux qu’elle raconte l’ampleur du trou dans lequel feu Amadou Thiam les a enfoncés après le décès de leur mère.
Simone Petit était une très belle femme. Victime d’un accident sur une route du Mbour au Sénégal, elle a été transférée en France paralysée et tétraplégique. Elle a fini dans un fauteuil roulant et est décédée le 15 octobre 1971 dans un hôpital de Marseille. Pour Aïssatou Thiam elle et ses sœurs ne sont pas des enfants adulterins et sa mère « n’est pas une pute » comme le sous-entend le communiqué de la progéniture de feue Mariétou Sow.
« Que les Thiam de Yamoussoukro règle leurs soucis avec Anna et qu’ils laissent notre mère reposer en paix ».
Cette ex-pensionnaire de l’ASE (Aide sociale à l’enfance) appeller alors DDASS ne veut rien savoir de ses frères et sœur qui selon elle les ont spoliés ses sœurs et elle, de l’héritage de leur père. Selon elle, sa mère et le ministre Amadou Thiam ont été mariés. Elle a fourni des preuves pour confirmer ses dires.

Nous y reviendrons…

Armand Iré journaliste.

 

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