«À TOI, MA PERSONNE
Depuis la prison de La Haye jusqu’à la libération de ton époux, tu as résisté avec force et maestria à toute cette horde de mercenaires de la plume et de vidéastes bien recrutés, bien organisés sur la toile, qui avaient pour mission de te détruire et de ternir la réputation de ton mari, notre opah national.
Lorsque tu as décidé d’assurer toi-même la sécurité de ton époux, un homme d’une gentillesse extrême, ouvert à tous, même à ses pires ennemis, tu savais que les véritables adversaires n’étaient jamais loin. Ce n’est donc certainement pas aujourd’hui, après cette sortie méprisante, qu’on réussira à t’atteindre. Ceux qui s’attaquent à toi te connaissent très mal.
Nous sommes avec toi dans cette cabale, et nous serons toujours à vos côtés, car vous incarnez la vérité et l’espoir de tout un peuple. Personne, je dis bien personne, ne détournera le peuple d’Éburnie du chemin tracé par notre guide. Nous savons d’où nous venons, et nous savons, avec ton cher époux, où nous allons, portés par sa vision pour ce pays qui est le nôtre.
Encore une fois : Yako, Yako, Yako à toi. Force à toi, ma personne.
Juste la voix de l’artiste.»
































